Le bassin de mon activité professionnelle, la pointe du médoc.
Entre marais, forêts, estuaire et océan, les villages se succèdent comme sur un collier de perles toutes singulières.
Liés, mais avec chacun leur particularité, leur histoire, leurs coutumes, leurs spécialités marines, agricoles, viticoles, ces petits patelins ne manquent pas de vie et de caractère.
Les générations cohabitent et s’organisent sans trop se comprendre parfois.
Les derniers arrivés, fraichement échappés des villes, font un peu peur aux anciens. Alors les voisins voisinent parfois maladroitement.
La mixité sociale aux multiples facettes pose les mêmes questionnements que dans les grandes métropoles, mais les solutions doivent s’adapter à un contexte géographique particulier.
L’emploi se réinvente tout en essayant de maintenir ses acquis.
Les agriculteurs, viticulteurs, ostréiculteurs, cultivent, produisent, innovent et jonglent avec toutes leurs contraintes : gestion salariale, subventions, météo, virus…
Les micros et petites entreprises se font et se défont au rythme des marées. Elles se rassemblent, se réinventent dans des espaces de coworking, des fablab, des ateliers partagés au sein de tiers lieux privés, communaux ou associatifs.
Les artisans construisent, déconstruisent et reconstruisent au même rythme.
Les associations tissent les liens et les solidarités, et les communes accompagnent et soutiennent.
C’est parmi tous les acteurs de cette vie rurale « Médoc’aime » que j'ai la chance de pouvoir développer mon activité de Médiation Professionnelle et de Formation.